Alors, je reviens de vacances (la neige était
bonne, merci), et qu'est-ce que j'apprends ? Que le directeur
de la rédaction de Télérama est parti, et qu'AIBO, le
chien-robot de Sony, c'estfini. Après enquête, il n'y aurait aucun rapport (et
d'ailleurs, vu le thème de ce blog, je vais me concentrer sur la
seconde nouvelle).
Donc, pour des raisons économiques, Sony a décidé d'arrêter la
production de son chien électronique. A partir de mars, la société
japonaise se contentera d'écouler ses stocks. La dernière version d'AIBO était pourtant amusante, et bien dans l'air du temps, puisqu'il était capable de... bloguer (oui, oui, comme un journaliste de Télérama, nous sommes finalement peu de chose). Auparavant, ses fonctions tendaient à le rapprocher de ses congénères en chair et en os. Quand on le caressait, il frétillait ; il pouvait jouer avec une balle ou un jouet en plastique ; il s'asseyait quand on lui en intimait l'ordre. Avec cette fonction blog - ou roblog, selon un terme fraîchement consacré, AIBO changeait de modèle : de pseudo-chien, il était devenu plutôt une sorte d'appareil-photo sur pattes, qui racontait sa journée en images directement envoyées sur Internet.
Heureusement, les fans vont continuer de faire vivre leurs cabots à puces électroniques, et on devrait pouvoir suivre encore longtemps l'existence de ces derniers. Même si, il faut bien l'avouer, lorsqu'on ne mesure que 30 centimètres de hauteur, la vie n'est pas toujours passionnante, comme en témoigne le blog de AIBO Pedro : des vues d'étagères, de bibliothèque, de pied de table...
Donc, pour des raisons économiques, Sony a décidé d'arrêter la
production de son chien électronique. A partir de mars, la société
japonaise se contentera d'écouler ses stocks. La dernière version d'AIBO était pourtant amusante, et bien dans l'air du temps, puisqu'il était capable de... bloguer (oui, oui, comme un journaliste de Télérama, nous sommes finalement peu de chose). Auparavant, ses fonctions tendaient à le rapprocher de ses congénères en chair et en os. Quand on le caressait, il frétillait ; il pouvait jouer avec une balle ou un jouet en plastique ; il s'asseyait quand on lui en intimait l'ordre. Avec cette fonction blog - ou roblog, selon un terme fraîchement consacré, AIBO changeait de modèle : de pseudo-chien, il était devenu plutôt une sorte d'appareil-photo sur pattes, qui racontait sa journée en images directement envoyées sur Internet.
Heureusement, les fans vont continuer de faire vivre leurs cabots à puces électroniques, et on devrait pouvoir suivre encore longtemps l'existence de ces derniers. Même si, il faut bien l'avouer, lorsqu'on ne mesure que 30 centimètres de hauteur, la vie n'est pas toujours passionnante, comme en témoigne le blog de AIBO Pedro : des vues d'étagères, de bibliothèque, de pied de table...
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