Le site de L'Atelier
relève que lecode-barre 2D s'invite dans la presse sud-africaine.
Le sunday
Times adopte depuis peu le "Times code" avec un opérateur
téléphonique local, Nashua Mobile.
Le code-barre c'est
le chainon manquant entre le papier et l'internet.
Avec
votre téléphone mobile vous scannez le code, situé au bas d'un
article quelconque publié sur un support papier, et vous télécharger
une vidéo relative à l'article ou des infos complémentaires (cours
de la bourse en direct, etc). Ex : lecture du compte-rendu du match
de foot de la veille dans L'Equipe, puis vous scannez un code-barre
pour visionner les buts du match sur votre mobile.
Génial, non
?
Le système n'est pas nouveau, il fonctionne d'ailleurs à
pleins tubes et depuis longtemps au Japon. cet été en France,
Closer et Public s'y sont mis. Cela dit, je n'ai pas vraiment de
retour d'info sur cette expérience.
Dans un univers
médiatique cross-média (d'ici quelques mois, tous les
journaux ne parleront plus que de ça, je prend les paris), le
code-barre est un des outils qui permet à l'information de circuler
d'un support à un autre.
C'est ce que j'expliquais la semaine
dernière encore à mes stagiaires, 24 journalistes d'un grand
quotidien régional du Centre, très attentifs voire même surpris,
sinon ébahis par cette nouvelle technologie.
Si tout va bien,
avec le développement du wifi dans les grandes villes (et à la
campagne aussi j'espère), des tarifs au plus bas voire la gratuité
pour le téléchargement des datas, ce système de code-barre pourra
s'installer durablement dans les quotidiens et les magazines.
A
moins que le e-paper ne vienne bousculer tout ça. Mais je n'y crois
pas en l'état. Beaucoup trop cher.
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